1) Les risques liés à la préparation des doses
Certaines personnes ont peur de se réveiller au milieu de l’opération ou inversement ne pas pouvoir se réveiller ou encore de ressentir de la douleur, dû à un mauvais dosage.
Les doses sont préparées surtout par rapport au poids du patient puis par la durée de l’opération. On prépare une dose kilo par personne, souvent en mg/kg. (voir II. 2) b.)
Cependant, certains patients sont plus résistants que d’autres, aux médicaments. Il faut donc en donner le double de leur dose kilo. L’injection de cette dose est répétée jusqu’à ce que le patient s’endorme. En fait, le rôle de l’anesthésiste est que le patient s’endorme et n’ait pas mal.
La dose de médicaments peut être ainsi trop forte par rapport au poids de la personne. Avec une dose de médicaments trop forte, ils deviennent hypotenseurs car ils vont faire baisser la tension. De plus, il dormira plus longtemps que la normale et mettra plus de temps à se réveiller. Mais une dose trop importante de morphine, voulue ou non, va faire arrêter la respiration du patient.
Un patient reçoit des médicaments jusqu’à ce qu’il s’endorme mais, au bout de 15 min environ, il est possible que la dose ne soit plus suffisante pour assurer l’anesthésie. En effet, le patient pourrait se réveiller ou avoir mal.
Lorsque les analgésiques baissent d’efficacité, le corps du patient peut redevenir sensible à la douleur sans que celui-ci ne s’en rende compte. Ainsi, les interventions du chirurgien, normalement non ressenties, le seront, ce qui relancera la douleur à travers le corps, qui était normalement annulée, et la fréquence cardiaque augmentera. Il est dangereux pour la santé du patient que la fréquence cardiaque augmente jusqu’à, par exemple 180 pulsations/min.
De même, lorsque les hypnotiques diminuent, leurs effets baissent, le patient se réveille et pourrait commencer à bouger, ce qui gênerait le chirurgien.
Avec les curares, l’inefficacité des hypnotiques et des morphiniques ne sera pas remarquée par l’anesthésiste. En effet, les curares empêchent tous les muscles de bouger. Donc lorsque le patient sera réveillé ou souffrant, il n’aura pas de mouvements, car il est immobilisé. L’anesthésiste ne sera alors pas averti du réveil du patient.
Pour les patient qui se réveillent, certains ne s’en souviendront pas au réveil car ils étaient inconscients mais d’autres peuvent avoir de vagues souvenirs, ou d’autres encore, pendant l’opération, sont totalement conscients mais ne ressentent rien. Plus tard, ces patients pourraient souffrir de cauchemars, cela signifierait que l’anesthésiste aurait mal accompli sa tâche.
Les doses sont préparées surtout par rapport au poids du patient puis par la durée de l’opération. On prépare une dose kilo par personne, souvent en mg/kg. (voir II. 2) b.)
Cependant, certains patients sont plus résistants que d’autres, aux médicaments. Il faut donc en donner le double de leur dose kilo. L’injection de cette dose est répétée jusqu’à ce que le patient s’endorme. En fait, le rôle de l’anesthésiste est que le patient s’endorme et n’ait pas mal.
La dose de médicaments peut être ainsi trop forte par rapport au poids de la personne. Avec une dose de médicaments trop forte, ils deviennent hypotenseurs car ils vont faire baisser la tension. De plus, il dormira plus longtemps que la normale et mettra plus de temps à se réveiller. Mais une dose trop importante de morphine, voulue ou non, va faire arrêter la respiration du patient.
Un patient reçoit des médicaments jusqu’à ce qu’il s’endorme mais, au bout de 15 min environ, il est possible que la dose ne soit plus suffisante pour assurer l’anesthésie. En effet, le patient pourrait se réveiller ou avoir mal.
Lorsque les analgésiques baissent d’efficacité, le corps du patient peut redevenir sensible à la douleur sans que celui-ci ne s’en rende compte. Ainsi, les interventions du chirurgien, normalement non ressenties, le seront, ce qui relancera la douleur à travers le corps, qui était normalement annulée, et la fréquence cardiaque augmentera. Il est dangereux pour la santé du patient que la fréquence cardiaque augmente jusqu’à, par exemple 180 pulsations/min.
De même, lorsque les hypnotiques diminuent, leurs effets baissent, le patient se réveille et pourrait commencer à bouger, ce qui gênerait le chirurgien.
Avec les curares, l’inefficacité des hypnotiques et des morphiniques ne sera pas remarquée par l’anesthésiste. En effet, les curares empêchent tous les muscles de bouger. Donc lorsque le patient sera réveillé ou souffrant, il n’aura pas de mouvements, car il est immobilisé. L’anesthésiste ne sera alors pas averti du réveil du patient.
Pour les patient qui se réveillent, certains ne s’en souviendront pas au réveil car ils étaient inconscients mais d’autres peuvent avoir de vagues souvenirs, ou d’autres encore, pendant l’opération, sont totalement conscients mais ne ressentent rien. Plus tard, ces patients pourraient souffrir de cauchemars, cela signifierait que l’anesthésiste aurait mal accompli sa tâche.