Nous avons donc vu, précédemment que l’anesthésie générale comportait de nombreux risques. Néanmoins plusieurs méthodes de préventions ont été mise en place ces dernières années afin de limiter et éviter au maximum ces risques.
Alors, « Faut-il avoir peur de l’anesthésie générale ? »
« Il ne faut pas avoir peur mais il faut limiter tous les risques », c’est ce que nous a répondu Marie Walbrou, anesthésiste à la clinique St Philibert à Lomme lors de notre rencontre.
De plus, selon le Pr Alexandre Mignon, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital Cochin (Paris), si l'on s'en tient aux statistiques, l'anesthésie générale ne devrait pas faire peur. «Il y a vingt ans, le risque de ne pas se réveiller et de mourir des complications de l'anesthésie s'élevait à 1 pour 10 000 dans les pays riches. En 2000, ce chiffre tombe à 1 pour 200 000.»
Depuis les années 1980, en France, le nombre annuel d’anesthésies générales a plus que doublé. Et pendant cette même période, le taux de mortalité en rapport avec l’anesthésie a été divisé par dix.
En effet, cette méthode assez récente n’a cessé de s’améliorer durant ces dernières années et a révolutionné la médecine avec la mise en place d’une chirurgie de qualité. Depuis le décret du 12 décembre 1994, de nombreuses préventions ont été mises en place pour rassurer les populations telles que la consultation pré-anesthésique. D’abord crée pour prévenir les populations des différents risques possibles lors d’une anesthésie, celle-ci fut rapidement nécessaire pour rassurer les patients qui se révélaient, pour la plupart de plus en plus inquiets.
Malheureusement le risque 0 n’existe pas en anesthésie, le tout est de limiter au maximum les risques grâce à un développement de la médecine et des techniques de prévention.
« Il est donc habituel d'attribuer à l'anesthésie une grande majorité des incidents ou accidents survenant lors d'une intervention chirurgicale ou dans ses suites.», explique le docteur Bruno Gomez, anesthésiste à Paris.
Anecdote : Il est vrai qu’une personne anesthésiée ne coure pas plus de risques qu'en prenant le volant pour faire un aller-retour Paris-Nice. Alors si le patient ne s’inquiète pas avant un trajet en voiture, il n’y pas de raison pour qu’il s’inquiète avant une anesthésie.
Alors, « Faut-il avoir peur de l’anesthésie générale ? »
« Il ne faut pas avoir peur mais il faut limiter tous les risques », c’est ce que nous a répondu Marie Walbrou, anesthésiste à la clinique St Philibert à Lomme lors de notre rencontre.
De plus, selon le Pr Alexandre Mignon, anesthésiste-réanimateur à l'hôpital Cochin (Paris), si l'on s'en tient aux statistiques, l'anesthésie générale ne devrait pas faire peur. «Il y a vingt ans, le risque de ne pas se réveiller et de mourir des complications de l'anesthésie s'élevait à 1 pour 10 000 dans les pays riches. En 2000, ce chiffre tombe à 1 pour 200 000.»
Depuis les années 1980, en France, le nombre annuel d’anesthésies générales a plus que doublé. Et pendant cette même période, le taux de mortalité en rapport avec l’anesthésie a été divisé par dix.
En effet, cette méthode assez récente n’a cessé de s’améliorer durant ces dernières années et a révolutionné la médecine avec la mise en place d’une chirurgie de qualité. Depuis le décret du 12 décembre 1994, de nombreuses préventions ont été mises en place pour rassurer les populations telles que la consultation pré-anesthésique. D’abord crée pour prévenir les populations des différents risques possibles lors d’une anesthésie, celle-ci fut rapidement nécessaire pour rassurer les patients qui se révélaient, pour la plupart de plus en plus inquiets.
Malheureusement le risque 0 n’existe pas en anesthésie, le tout est de limiter au maximum les risques grâce à un développement de la médecine et des techniques de prévention.
« Il est donc habituel d'attribuer à l'anesthésie une grande majorité des incidents ou accidents survenant lors d'une intervention chirurgicale ou dans ses suites.», explique le docteur Bruno Gomez, anesthésiste à Paris.
Anecdote : Il est vrai qu’une personne anesthésiée ne coure pas plus de risques qu'en prenant le volant pour faire un aller-retour Paris-Nice. Alors si le patient ne s’inquiète pas avant un trajet en voiture, il n’y pas de raison pour qu’il s’inquiète avant une anesthésie.